Rencontre poétique et musicale avec les grandes figures enfantines qui ont habité Victor Hugo : Gwynplaine, Cosette, Gavroche, et le Petit Prince d’un conte extrait de « l’Art d’être grand père ».
C’est l’histoire d’un petit prince écossais qui déborde d’affection et d’énergie mais que son impatience de foufou entrainera vers les plus grands dangers !
Un guide raconte l’historique des cascades de Micaux ou Granvelle, surgissent des personnages fantasmés qui évoquent autrement l’atmosphère et la poésie de ces promenades.
Les spectateurs entrent dans ce lieu, apparaissent des âmes errantes… les fantômes d’un hérétique, d’une lépreuse, d’un soldat bisontin lors du siège de 1674 et un contrebandier. Ils racontent leurs morts dans ce lieu, leurs petites histoires rejoignent la Grande et évoquent les fonctions de la tour Notre Dame.
Sous un chêne tricentenaire, un conférencier arboricole est interrompu par des voix d’enfants… ceux sont les enfants du chêne, égrenant les saisons, ils nous parlent autrement de cet arbre, évoquant ses souvenirs, ses rêves, ses amours, ses chagrins…
Une promenade champêtre et musicale le long des vergers du chemin de Chamuze, pour découvrir ces paysages et se laisser surprendre par la poésie de ces lieux plantés d’arbres fruitiers et de rêves transmis de génération en génération…
La forêt révèle ses murmures, les plus inattendus, les plus enchanteurs, les plus secrets, les plus intolérables, les plus rêvés, les plus festifs…
Les spectateurs découvrent en calèche les chemins forestiers du XVIIème siècle. Ils sont attaqués par les brigands rouges et doivent leur salut à des charbonnières qui ramassent du bois sur le chemin. Les spectateurs sont invités à reprendre des forces dans le camp des charbonniers. Ils assistent à une scène de ménage (cf :Don Juan) en musique et en chanson.
Balade poétique et musicale en 4 étapes sur le thème de l’hiver, la neige vue par les enfants, le Noël de la rue et le Noël des traditions.
Une visite guidée pour révéler grâce au parcours choisi, les liens ténus mais solides tissés entre Victor Hugo et sa ville natale dans laquelle il n’est jamais revenu… mais l’on peut toujours rêver…
Image d’une répétition sur site. Visite guidée théâtralisée. Un guide, un orgue de Barbarie, une chanteuse, un poète… Comme un bouquet d’épices pour découvrir autrement notre bonne vieille ville et en révéler toutes les saveurs méconnues.
Un officier de Vauban, accompagné de son tambour, nous fait pénétrer dans une citadelle d’ombre et de lumière, de coins et de recoins. Une citadelle embrassée par le ciel étoilé, caressée par les brises d’été, une citadelle d’herbe tendre et d’escaliers polis, propices aux confidences d’un cœur enamouré…
Lors de cette balade nocturne, les spectateurs accompagnés d’un tambour, iront à la rencontre de dames ou de demoiselles célèbres en leur temps. Dans ce lieu formidable dont elles seront les sentinelles d’un soir, elles témoigneront de leur vision de la guerre, avec toute leur poésie, leur humanité, leur humour ; chacune à sa façon!
Déambulation musicale et théâtrale à la Citadelle de Besançon.
Pour le festival Orgue en Ville, Le Théâtre-Envie avec les Zéclairés, crée l’Ermite un conte de Jean de la Fontaine et un parcours déambulatoire mené tambour battant, proposant 13 fables en continu dans le parc Zoologique.
Déambulation musicale et poétique autour du thème de la Guerre et de la fête.
L’Atelier adulte de l’ASEP, à l’origine de la création de la troupe amateur des Zéclairés, présente chaque année un spectacle au petit Kursaal. 2011 : «La première croisade selon Ribes» d’après «Dieu le veut».
Une courte pièce (3 actes) pour découvrir le génie de Molière, sa langue et son humanité et railler les pères possessifs et les médecins plus intéressés par les gains que par la guérison de leur patient.
Avec les Jacquenscène (fédération des compagnies de théâtre amateur bisontines), les Zéclairés expriment leur amour pour la poésie en participant aux Printemps de Poètes
Antigone est l’un des personnages les plus célèbres du théâtre antique. Ce drame politique s’accompagne ainsi de l’éternel conflit des générations, nous mettant face aux abominations nées de l’absence de concession, que ce soit dans la cité ou dans la famille. Y a t-il une supériorité des lois de la cité sur nos lois intérieures ou divines. Qui doit céder ? Qui a raison de s’obstiner ? Est-il possible de trouver dans un conflit politique ou générationnel une voie moyenne entre deux exigences aussi défendables l’une que l’autre mais aussi mortelles dans leur obstination ?